test de personnalité

Publié le 8 Juin 2006

  Il y'a deux jours j'ai fait une petit bilan de personnalité sur un site internet
MaRéussite.com ,voici ce que j'ai reçue

BILAN-ANALYSE DE PERSONNALITE

La construction de votre personnalité

 

 

D'après vos réponses aux questionnaires, nous pouvons envisager un certain nombre d'hypothèses concernant la construction de votre personnalité:

 

Pendant votre enfance vous avez probablement vécu des situations dans lesquelles il vous est apparu que vous deviez vous prendre en charge, vous affirmer, et peut-être même savoir vous imposer pour être respectée des autres.

Il est possible que vous en soyez arrivée à ces conclusions après avoir observé des situations, soit de pouvoir excessif, soit au contraire d’absence d’autorité. Toujours est-il que vous avez trouvé qu’il valait mieux faire partie des forts…

 

 

 Finalement les événements qui ont constitué votre enfance vous ont donné ces impressions qui se sont progressivement ancrées en vous :

 

                   " Dans la vie, il y a les forts et les faibles "

                  

                   " Je dois être forte pour être respectée et aimée, les faibles sont rejetés "

                  

                   " Le monde est plutôt dangereux, il faut savoir se battre"

 

                   " Je dois savoir m'imposer pour me protéger"

 

 

Ce qu'il est intéressant de comprendre, c'est que ces impressions ne sont pas la réalité: elles ne sont que le fruit des conclusions que vous avez inconsciemment tirées de ce que vous avez vécu étant enfant. Elles sont les explications que vous vous êtes donnée des évènements passés et des comportements de votre entourage à votre égard. Mais ces conclusions sont progressivement devenues en vous des convictions : ce que l'on appelle en psychologie des "croyances" sur vous-même.

 

Ces "croyances" sont probablement inconscientes, non présentes à votre esprit.

Elles sont peut-être juste quelque chose que vous ressentez confusément.

Ou, à l'inverse, elles sont peut-être quelque chose qui vous apparaît comme une évidence, ce que vous croyez être la "réalité".

 

Votre personnalité s'est ainsi construite sur la base de ces convictions, de ces "croyances".


 

 

Vos valeurs

 

 

 De ces croyances découlent certaines de vos valeurs. Parmi elles nous pouvons citer:

 

 

                            - La justice

                            - Le courage

                            - Le pouvoir

                            - La force, le contrôle

- La détermination

- L’autonomie et l’indépendance

 

 

Bien sûr vous avez encore d'autres valeurs. Mais celles que nous venons de citer sont étroitement liées à la construction de votre personnalité, et c'est en cela qu'elles nous intéressent dans ce profil.

 


Manifestations générales de votre personnalité

 

 

 

Ces croyances mises en évidence font de vous quelqu'un de proactif qui sait se prendre en charge et qui a conscience de pouvoir agir sur son environnement et avoir une influence sur l'extérieur.

 

Cela fait aussi de vous quelqu'un de fort, positif, qui ne se laisse pas aller à trop s'écouter, qui ne se laisse pas abattre et qui surtout ne se laisse pas faire : vous savez prendre les choses en main et avez d'ailleurs tendance à diriger.

 

 

 

Le pouvoir

 

Votre croyance selon laquelle dans la vie il y a les forts et les faibles vous amène à penser plus ou moins consciemment que si vous ne prenez pas le pouvoir, d'autres le prendront à votre place et l'exerceront à votre encontre, ce que vous ne pouvez pas accepter.

 

Votre croyance selon laquelle vous devez vous imposer pour vous protéger vous amène donc à rechercher une position dominante, pas forcément par goût du pouvoir dans l'absolu mais plutôt pour ne pas vous laisser contrôler par les autres. Mais cette motivation est inconsciente.

 

Pour conserver cette position et être respectée, vous pensez devoir exercer une certaine forme de contrôle sur votre univers et sur vous-même.

 

 

 

Le contrôle sur l'extérieur

 

Ce contrôle s'exerce tout d'abord par la recherche du positionnement de chacun que vous savez repérer tout de suite. Par exemple au sein d'un groupe vous déterminez très rapidement qui détient déjà une forme d'autorité.

Au besoin, pour affiner votre perception des individus et éviter les tentatives de manipulation, vous pouvez les "tester" en les confrontant ou en jouant sur leurs cordes sensibles et leurs points faibles. En effet cela vous permet d'observer leurs réactions et d'en savoir plus sur eux.

 

Certains vous apparaissent alors comme faibles, et vous pouvez soit les ignorer, les dédaigner soit les aider, les protéger. D'autres sont directs et vous appréciez leur franchise.

D'autres encore vous semblent fuyants parce qu'ils refusent la confrontation et vous pouvez être tentée de les mépriser.

Enfin, vous vous méfiez de ceux qui ne vous semblent pas sincères ou un peu manipulateurs.

 

Une fois que vous avez repéré le positionnement de chacun, vous pouvez avoir parfois tendance à vous imposer pour devenir celui qui dirige, qui organise, qui dicte les règles de conduite. Dans certains contextes vous pouvez essayer de limiter le pouvoir d'autrui afin de conserver le vôtre. Vous prenez le contrôle pour ne pas être contrôlée par les autres.

Cette tendance peut s'étendre jusqu'au désir de prendre les décisions à la place de votre entourage et de les leur imposer. Vous pouvez même être amenée à penser :

"Je sais ce qui est bon pour eux".

 

Inversement si vous êtes entourée uniquement de gens dont vous êtes convaincue de la confiance et de la loyauté, alors vous pouvez vous détendre et devenir quelqu'un de très agréable, ouverte, sympathique et généreuse.

 

 

 

Le contrôle de soi

 

Pendant votre enfance il était important pour vous d'être quelqu'un de fort. Pour ce faire vous avez appris à mettre de côté tout ce qui était lié à la sensibilité ou qui pouvait s'apparenter à de la faiblesse.

Vous avez ainsi pu développer un mécanisme de défense appelé le déni. En psychologie on appelle mécanisme de défense un processus que notre inconscient met en place afin de nous protéger compte tenu de nos croyances. Dans votre cas il s'agit vraisemblablement du déni : considérant qu'il est pour vous vital d'être quelqu'un de fort, votre inconscient vous amène à ne pas ressentir tout ce qui pourrait vous en éloigner. Cela peut s'exprimer :

 

 

         Õ Sur le plan physique

Par exemple vous pouvez ressentir une telle motivation pour une activité ou tellement vous impliquer dans une tâche ou un travail que vous pouvez ne pas ressentir des signaux physiques tels que la fatigue, la douleur, la faim. Ces signaux sont pourtant des messages de votre organisme vous signalant la nécessité de baisser votre rythme ou de prendre du repos.

En déniant les signaux physiques vous ne percevez donc pas ces messages et dès lors vous prenez un risque : que votre corps vous envoie des signaux beaucoup plus forts, pouvant aller jusqu'à la maladie ou l'infarctus, pour vous obliger à vous arrêter.

        

 

Õ Sur le plan émotionnel

Le déni peut aussi s'opérer pour vous sur le plan émotionnel. Nous avons déjà mis en avant votre tendance à ne pas vous autoriser l'expression spontanée de certains sentiments assimilables à de la faiblesse (apitoiement, tristesse, fragilité...).

Au-delà de la non-expression de ce que vous ressentez, votre mécanisme de déni peut aller jusqu'à vous empêcher de ressentir certaines émotions que vous avez appris à étouffer en vous. Cela ne veut pas dire qu'elles n'existent plus, mais seulement que vous les avez tellement réprimées qu'elles deviennent difficilement accessibles.

Cela est sûrement particulièrement vrai dans les situations où vous devez mobiliser toute votre énergie : il est alors probable que vous n'ayez conscience que de sentiments tels que le courage, la force, la volonté, la maîtrise etc...

 

 

         Õ Sur le plan de l'introspection.

Le déni consiste là à vous empêcher d'entrer en introspection, de vous remettre en question dans certaines situations qui pourraient normalement vous amener à regretter certains de vos actes. En effet votre inconscient bloque tout ce qui pourrait vous freiner dans votre action

C'est pourquoi il est possible que vous ressentiez assez rarement de la culpabilité ou des remords.

 

 

 

Un certain penchant pour les excès

 

Votre tendance au déni peut avoir notamment comme conséquence une difficulté inconsciente à savoir exactement quels sont vos véritables besoins et envies.

L'un des moyens que vous avez inconsciemment mis en place pour combler ce manque est l'excès. En effet la solution que vous avez trouvée et que vous appliquez probablement dans différents domaines consiste à consommer ce que vous appréciez en grandes quantités : Connaissant mal vos désirs, vous vous concentrez sur le plaisir et l'excitation en les accentuant au maximum. Vous avez ainsi envie d'accroître l'intensité de ce que vous vivez, et sur ce point vous acceptez probablement mal la frustration. Résultat : En fonction de vos goûts, qu'il s'agisse de gastronomie, de travail, de sexe, de certains sports ou d'autres choses, vous voulez obtenir un maximum de plaisir et vous aimez repousser les limites en allant toujours plus loin. Sur ce plan comme sur d'autres : c'est tout ou rien.

 

 

La justice

 

La justice est l'une de vos valeurs fondamentales. Vous êtes prête à vous mobiliser pour elle.

C'est d'ailleurs probablement lorsque vos actions sont guidées par le rétablissement de la justice que vous pouvez vous sentir pleinement puissante.

En effet, rien n'est plus motivant pour vous qu'une menace extérieure contre laquelle il faut lutter.

Il y a en vous un peu de la justicière : Une sorte de protectrice de ceux qui ont besoin de vous. Cela est particulièrement vrai pour vos proches.

De la justice à la revanche

 

Vous détestez perdre. Il est pour vous intolérable d'être vaincue, diminuée, ou dans toute situation que vous percevez comme humiliante.

Pour éviter de reconnaître votre défaite, vous pouvez alors focaliser votre esprit sur des actions de revanche qui pourraient vous permettre de retrouver un statut dominant. Ainsi, loin de vous laisser abattre par un échec, celui-ci vous sert presque de stimulant pour rassembler votre énergie et tenter de reprendre le contrôle. Vous avez ainsi en vous une formidable capacité à rebondir.

 

Vous pouvez aussi dans certains cas avoir l'impression que les problèmes et les difficultés viennent des autres, de leurs comportements, de leurs opinions, ou de leurs réactions imbéciles. Vous êtes alors tentée de chercher des coupables, et de parfois vous nourrir d'une envie de châtiment ou de représailles.

Vous pouvez alors confondre votre désir de vengeance avec ce que vous pensez être un rétablissement de la justice.

 

 

 

Réactivité et colère

 

Le sentiment d'avoir été bernée, que vos valeurs ont été bafouées, ou encore que l'on ne vous respecte pas pourrait vous amener à ruminer votre rancœur. C'est compter sans votre grande réactivité : vous préférez dans ces cas là exprimer immédiatement votre colère. Vous n'avez pas forcément conscience qu'il s'agit de colère : vous pensez peut-être que vous êtes simplement en train d'affirmer votre point de vue, de rétablir une vérité, ou de ne pas vous laisser faire. En revanche votre entourage reconnaît la colère au ton de votre voix.

La fermeté avec laquelle vous exprimez votre position est pour vous synonyme de force parce qu'elle vous offre un moyen de vous affirmer dans une confrontation directe et franche, probablement excitante, qui stimule votre énergie.

Bien sûr votre colère intimide les autres. C'est d'ailleurs un moyen de ne pas vous laisser contrôler. En cela c'est une sorte de bouclier.

C'est aussi un moyen de proclamer votre bon droit et de vous rendre justice.

Vous n'hésitez donc pas à l'exprimer en public.

Lorsque votre colère est tournée contre quelqu'un que vous voyez comme un adversaire, alors vous êtes capable de focaliser toute votre attention sur ses points faibles, ses défaillances, ses défauts, et tout ce qui va vous permettre de l'emporter en le rabaissant dans ses torts.

Après la colère vous pouvez avoir le sentiment que la situation est clarifiée, épurée.

En effet vous êtes convaincue qu'une dispute permet de faire la lumière sur la vérité.

Vous êtes alors capable de repartir sur des bases saines et vous pouvez même renouer immédiatement avec celui qui fut l'espace d'un instant votre adversaire.

En revanche il peut vous arriver dans certains cas extrêmes d'atteindre une sorte de point de non-retour où vous ne maîtrisez plus l'expression de votre colère. Dans ce cas vous pouvez alors devenir très blessante pour les autres, vous mettre dans un état très désagréable pour vous, faire et dire des choses que vous regrettez par la suite.

 

Il est possible que vous valorisiez également la franchise et la fermeté de l'autre : en effet un comportement fuyant est pour vous synonyme de lâcheté ou encore le signe que l'on vous cache quelque chose. En revanche si l'autre exprime clairement sa position, vous pouvez le considérer comme un adversaire valable et même lui porter de l'estime.

 

 

 

La recherche d'une position avantageuse

 

Dans vos relations avec les autres il est possible que vous vous retrouviez parfois dans deux positions très différentes :

 

Õ Celle de celle qui intimide pour s'imposer et se faire respecter.

 

Õ Celle du grand seigneur : généreuse, bienveillante, humaine et protectrice

    qui vient en aide et même sauve celui qui en a besoin.

 

Le point commun entre ces deux positions en apparence très opposées est le positionnement. En effet, dans les deux cas, vous vous retrouvez dans une position dominante : celui qui s'impose se situe naturellement "au dessus" de celui qui se sent intimidé; De même le sauveur est "au dessus" de celui qu'il aide. Ce dernier se retrouve en effet dans une position inférieure puisqu'il a besoin d'être aidé. De plus il est d'une certaine façon redevable envers celui ou celle qui le tire d'affaire ou qui fait preuve de générosité à son égard.

 

Dans les deux cas vous adoptez donc un rôle avantageux. Il vous apporte vraisemblablement un certain plaisir plus ou moins conscient. La limite est qu'il est éphémère et risqué. En effet, peu de gens acceptent de rester longtemps dans une position d'infériorité :

 

Ceux qui se sont sentis intimidés tenteront de reprendre le dessus.

Ceux que vous avez sauvés sans qu'ils n'aient demandé explicitement votre aide vous en voudront de les placer ou de les maintenir dans le rôle de la victime qu'on aide : Ils auront besoin tôt ou tard de retrouver leur autonomie vis-à-vis de vous. Pour ce faire ils pourront alors non seulement rejeter votre aide mais aussi faire preuve d'agressivité à votre égard afin d'exprimer leur besoin de se débrouiller seuls.

Vous leur reprocherez alors ce que vous interprèterez comme un manque de reconnaissance, une ingratitude qui vous blesse particulièrement.

 

 

 


Des qualités inhérentes à votre personnalité

 

 

Ces éléments de personnalité que nous avons décrits vous confèrent un certain nombre de qualités qui vous sont propres.

Citons ainsi, entre autres :

 

 

         - Le charisme

- Le pouvoir de conviction

- Des qualités de meneur d'homme

         - La puissance de travail

         - La faculté de ne pas vous laisser faire

         - Le courage

- La volonté

         - La loyauté

         - La franchise

         - Le sens de la justice

- Le sens des responsabilités

- L'autonomie

- La capacité à relever des défis

- Le pouvoir de concentration

- L'assurance

- La générosité.

 

 

 je trouve que cela me correspond bien ,et je pense que les personnes qui me connaissent ne me contrediront pas?

http://www.MaReussite.com


Rédigé par sofy

Publié dans #MES BAFOUILLES

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